Dimanche 15 décembre nous avons eu le bonheur de recevoir SANGO, musicien autodidacte et talentueux qui habite la scène comme si elle était son biotope, son espace naturel de vie. Dès les premiers accords de sa guitare, il a su nous embarquer dans un univers qui se disait en anglais, en français, en duala, entre ses compositions personnelles et des reprises de Prince ou de Bill Loko.
Nous avons découvert ou à redécouvert son univers à la fois Funk, habité par un groove dans la filiation d’un Otis Redding avec des touches qui rappellent les talents que la Motown nous a offerts.
Ajoutez-y l’africanité que porte cet artiste qui nous vient du Cameroun et la langue duala qui habite naturellement les musiques afro-américaines qui l’habitent, et vous pourrez imaginer le moment que nous avons passé.
Sango chante Mundumbu
Le public a été conquis par son énergie et la simplicité dont il a fait preuve.